Babayaga

de William Sheller

Je joue sur un pianoQui garde en têteTous les prestissimosDe nos jours de fêtePour y briser mes mainsQui se souviennent de toiEt pour jeter par la fenêtreMes mélodies qui ne servent plus à rien.Je chante des chansonsQui gardent en têteLe vin que nous buvionsLes soirs de fêtePour briser mes refrainsQui ne parlent que de toiEt pour sortir dedans ma têteLes Julien Clereries que l'on aimait bien.C'est idiot peut-êtreMais ça me fait du bien,Même si, peut-être,Ça ne sert à rien.

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