Quand On Aime

de Pierpoljak

Le bonheur quotidien,Vraiment, ne me dit rien.La vertu n'est que faiblesseQui voit sa fin dans le ciel.Je préfère la promesseDes paradis artificiels.Je sais qu'à la porte d'un barOù j'aurai bu jusqu'à l'extrême,On ramassera quelque partMon corps brûlé sur un brancard.Je bois quand même...Que sous la drogue lentement,D'extase en extase suprême,Je m'approche implacablementDu sombre asile des déments.J'en prends quand même...Je sais qu'en la femme fatale,Dans les bras d'un amant trop blême,S'infiltrera l'horrible malDont on crève au lit d'hôpital.J'aime quand même...Mes sens inapaisés,Cherchant pour se griserL'aventure des nuits louches,Apportez-moi du nouveau.Le désir crispe ma bouche.La volupté brûle ma peau.Je sais qu'à la porte d'un barOù j'aurai bu jusqu'à l'extrême,On ramassera quelque partMon corps brûlé sur un brancard.Je bois quand même...Que sous la drogue lentement,D'extase en extase suprême,Je m'approche implacablementDu sombre asile des déments.J'en prends quand même...Je sais qu'en la femme fatale,Dans les bras d'un amant trop blême,S'infiltrera l'horrible malDont on crève au lit d'hôpital.J'aime quand même...

Más canciones de Pierpoljak