Papa peint dans les bois

de Michel Sardou

Dans la même année,Dieu créait la femmeEt j'étais viré.D'abord du ciné,Trop petit pour entrerEt puis de mon Iycée,Le dernier que ma mère ait trouvé.Dans la même année,Je l'ai connue là en twistant le ya-ya.Elle était je croisUn peu plus vieille que moi,Ma première fiancée,Celle qui allait m'apprendre à aimer.Toutes les femmes sont bellesEt méchantes et cruellesMais elles nous font si bien l'amourQue Dieu leur pardonneD'avoir brisé des hommesQui n'pensaient qu'à leur faire l'amour.Dans la même année,La fille m'oubliaitEt j'étais viré d'abord de chez elle,Trop étroit pour resterEt d'un job à mi-tempsLe dernier qu'ait trouvé ma maman.Toutes les femmes sont bellesEt méchantes et cruellesMais elles nous font si bien l'amourQue Dieu leur pardonneD'avoir brisé des hommesQui n'pensaient qu'à leur faire l'amour.Si la même année,Tu découvrais à la foisLe bonheur d'aimer,Le chagrin quand il s'en va,Pense à moi.Mes femmes étaient bellesEt méchantes et cruellesMais elles m'ont si bien fait l'amourQue j'en suis encore,Pour une fille que j'adore,A me damner pour faire l'amour.Toutes les femmes sont bellesEt méchantes et cruellesMais elles nous font si bien l'amourQue je leur pardonne d'avoir brisé un hommeQui n'pensait qu'à leur faire mieux l'amour.Laisse aller. Tant pis.Après tout c'est la vie.Ne jure pas de n'plus faire l'amour.Toutes les femmes sont bellesEt méchantes et cruellesMais elles nous font si bien l'amour.

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