Cliché cosmique

de Mathieu Saïkaly

C’était dans tes yeux, c’était dans tes yeux
Toujours le même regard, toujours le même regard
Je pouvais plus le tenir, je pouvais plus le tenir
Oh j’y ai pensé le soir, j’y ai pensé le soir

Je voulais plus de guerre, je voulais plus de guerre
Oh il fallait le faire, il fallait le faire
Je voulais plus de guerre, je voulais plus de guerre
Oh il fallait le faire, il fallait le faire

Si tu refuses de me voir grandir, refuses de voir changer
Pourquoi tu me dis je t’aime à en perdre la
Si tu refuses de me faire confiance, d’essayer de me comprendre
Pourquoi tu me dis je t’aime à en perdre la

C’était dans tes mots, c’était dans tes mots
Toujours la même voix, toujours la même voix
Je pouvais plus l’entendre, je pouvais plus l’entendre
Oh j’y ai pensé le soir, j’y ai pensé le soir

Je voulais plus de guerre, je voulais plus de guerre
Oh il fallait le faire, il fallait le faire
Je voulais plus de guerre, je voulais plus de guerre
Oh il fallait le faire, il fallait le faire

Si tu refuses de me voir grandir, refuses de voir changer
Pourquoi tu me dis je t’aime à en perdre la
Si tu refuses de me faire confiance, d’essayer de me comprendre
Pourquoi tu me dis je t’aime à en perdre la

Si quand je suis je te fais souffrir, je vis je te fais mourir
Pourquoi tu me dis je t’aime à en perdre la
Ce n’est pas parce que je ne t’aime plus, pas parce que je ne veux plus
Evidemment que je t’aime encore

Ce n’est pas parce que je ne t’aime plus, pas parce que je ne veux plus
Evidemment que je t’aime encore

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