Mozart: Piano Concerto No. 21 in C Major, K. 467: II. Andante

de Gallimard Jeunesse

Si la brise
Me grise
Soudain,
C'est que je t'aime

S'il te semble
Que tremble
Ma main,
C'est que je t'aime

Tes caresses
Paraissent
Pour moi
La joie suprême

Sur tes lèvres
Sans trêve
Je vois
L'amour lui-même

Je t'aime

Plus s'efface
La trace
Des jours,
Plus je t'adore

Tes caresses
Renaissent
Toujours
Comme l'aurore

Toi seule as tous les charmes
Toi seule comprends mes larmes
Que m'importe le monde
L'orage qui gronde
Qu'importe
Je t'aime toujours

Plus s'efface
La trace
Des jours,
Plus je t'adore

Tes caresses
Renaissent
Toujours,
Comme l'aurore

Toi seule a tous les charmes
Toi seule comprends mes larmes
Que m'importe le monde
L'orage qui gronde
Qu'importe
Je t'aime toujours

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