Aux armes et caetera

de François Feldman

Envoûtés par des beautés panoramiques,
On vit sous les bombes anatomiques
Et dans leurs magiques rondeurs en douceur,
On en voit de toutes les douleurs

Elles nous griffent de tous les charmes de leur corps,
Parfois jusqu'au sang, j'en pleure encore,
Souvent elles nous flanquent la frousse, même les douces,
Elles s'amusent, elles jouent l'amour aux trousses

Les femmes,
Tant de charmes
Les femmes
Nous enflamment

Et quand elles allument en bleu leurs grands yeux,
Alors là, on n'y voit que du feu
Attention car tout est cousu de mystère
Dans le noir étrange de leurs yeux clairs

Les femmes,
Tant de charmes
Les femmes
Nous enflamment

Elles sont lascives et parfumées en sauvages,
Elles n'auront jamais un seul visage
Et nos amours singuliers trop cruels
Se déclinent au féminin pluriel

Les femmes,
Tant de charmes
Les femmes
Nous enflamment.

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